A partir d'aujourd'hui, on n'est plus obligés de porter le masque en extérieur. C'était absurde, 13 mois de punition inadaptée, le port du masque dans les rues... On l'a subi, et c'est, finalement une réflexion sur le confinement dans les têtes. Maintenant, ils commencent à reconnaître que c'était inutile, que l'on ne se contamine pas à l'extérieur, quand on marche, mais seulement quand on parle et qu'on se transmet les aérosols dans un espace fermé.

On attend que les  Etats-Unis ouvrent les frontières aux touristes de l'UE, celle-ci vient d'ouvrir ses frontières aux Américains. 

Ne plus voir ces grands panneaux menaçants placardés dans les rues, c'est déjà énorme. Paradoxalement, c'est maintenant que j'ai envie de vomir à cause de tous les excès et les abus que j'ai acceptés, par pur mécanisme de défense, et non par conviction. Parce qu'ils n'ont pas été capables de savoir mettre le curseur où il fallait.

Ne plus avoir le masque accroché au bras, quelle impression de liberté retrouvée, de normalité.. Je l'ai dans mon sac, si j'entre dans un magasin, mais respirer dans la rue le parfum des tilleuls, ça n'a pas de prix.. Oui, c'était l'expérience de Milgram..